Un service de livraison de repas à la demande reliant des chefs locaux à des personnes en quête de repas faits maison a annoncé son expansion dans le New Jersey cette semaine après un essai réussi à New York. Woodspoon permet aux clients de commander la livraison de nourriture auprès de chefs à domicile qui comprend tout, des repas familiaux aux créations dignes d'une étoile Michelin. Selon Woodspoon, les chefs à domicile se spécialisent dans une variété de cuisines et l'entreprise gère la logistique commerciale comme le paiement, les matériaux d'emballage et le service de livraison. Un repas pour deux coûte généralement entre 20 et 40 dollars, a déclaré Woodspoon. Il appartient en fin de compte aux chefs à domicile de fixer le prix de leurs plats, bien que Woodspoon recommande des prix compétitifs. Les chefs conservent leurs gains. Les clients doivent payer des frais de service qui vont à Woodspoon pour aider à couvrir "les transactions de paiement, l'emballage dans des conteneurs écologiques, les sacs réutilisables et la livraison", selon la société. À New York, Woodspoon dispose d'un réseau de 250 chefs, qui peuvent créer un profil sur le site Web et l'application pour aider à développer leur marque et leur clientèle. "Comme nous avons constaté une énorme demande dans l'espace des repas cuisinés à la maison, nous développer dans d'autres grandes villes et lieux a été notre principal objectif", a déclaré le PDG et cofondateur de WoodSpoon, Oren Saar, à NJ Advance Media. "Nous sommes impatients d'apporter quelque chose de nouveau à ces marchés et d'offrir à davantage de consommateurs des options de repas cuisinés à la maison qu'ils n'avaient pas auparavant." Les chefs à domicile utilisent une application distincte de Woodspoon pour gérer leurs commandes, nommer leurs repas, prendre des photos de la nourriture et plus encore. Le processus de commande et de livraison fonctionne "de la même manière qu'un chauffeur Uber accepte les passagers", a déclaré la société. Une fois qu'un chef accepte une commande, une minuterie à l'écran indique au chef le temps dont il dispose pour passer la commande et l'emballer. L'entreprise fournit aux chefs le matériel d'emballage et de livraison. Lorsque le chef prépare la commande, un service de livraison tiers sous-traité par Woodspoon est averti. Tous les chefs doivent passer par un processus de candidature qui comprend des entretiens, des inspections de cuisine et un test de dégustation, selon l'entreprise. Chaque chef est également formé aux techniques de sécurité alimentaire conformes aux normes établies par la Food and Drug Administration des États-Unis. Les ambitions d'expansion de Woodspoon ne s'arrêtent pas dans le New Jersey. La société envisage également de s'étendre à d'autres sites à travers les États-Unis.

BEIJING -- À partir du 1er février, la Chine adoptera le taux de droit qu'elle s'est engagé à appliquer dans le cadre de l'accord de partenariat économique régional global (RCEP) sur certaines importations en provenance de la République de Corée, a indiqué jeudi un communiqué publié par la Commission des tarifs douaniers du Conseil des Affaires d'Etat. . Cette décision interviendra le jour même de l'entrée en vigueur de l'accord RCEP pour la République de Corée, indique le communiqué. La République de Corée a récemment déposé son instrument d'approbation auprès du Secrétaire général de l'ASEAN, qui est le dépositaire de l'accord RCEP. Pour les années postérieures à 2022, les ajustements tarifaires annuels promis dans l'accord prendront effet le premier jour de chaque année. La mise en œuvre du RCEP par la République de Corée renforcerait davantage la coopération économique et commerciale régionale et apporterait des avantages mutuels à tous les membres du RCEP, ajoute le communiqué. En tant que plus grand accord de libre-échange au monde, l'accord RCEP est entré en vigueur le 1er janvier. Après son entrée en vigueur, plus de 90 % du commerce des marchandises entre les membres qui ont approuvé l'accord seront finalement soumis à des droits de douane nuls. Le RCEP a été signé le 15 novembre 2020 par 15 pays d'Asie-Pacifique - dix membres de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est et la Chine, le Japon, la République de Corée, l'Australie et la Nouvelle-Zélande - après huit ans de négociations qui commencé en 2012.

HARBIN - L'aéroport international de Harbin Taiping, dans la province du Heilongjiang (nord-est de la Chine), a enregistré un débit de fret aérien robuste vers la Russie en 2021, grâce au service de vol charter de fret en plein essor, a indiqué l'aéroport. L'aéroport a traité un total de 199 vols charters de fret transportant environ 6 550 tonnes de fret vers la Russie en 2021, une augmentation d'une année sur l'autre de plus de 130% et un record, selon l'aéroport. Le service de fret de l'aéroport vers Ekaterinbourg, la quatrième plus grande ville de Russie, est devenu le premier service de vol charter de fret de commerce électronique de Chine vers la Russie lors de son ouverture en 2013. La route logistique aérienne aide les acheteurs russes à réduire les coûts et les délais de livraison lors de l'achat de produits chinois via des plateformes en ligne. . En 2021, l'aéroport a lancé un service de vols charters cargo vers Moscou, avec six vols en moyenne par semaine. Les données de l'aéroport montrent que de 2013 à fin 2021, il a vu près de 1 000 vols charters de fret de commerce électronique vers la Russie, livrant plus de 20 000 tonnes métriques de fret.

Le commerce extérieur de marchandises de la Chine a augmenté de 21,4% en glissement annuel en 2021 pour atteindre 39.100 milliards de yuans, selon les données douanières publiées vendredi. Plus de contenu à suivre.

Avec sa dernière initiative, Instacart riposte aux principaux agrégateurs de restaurants, tels que DoorDash, Uber Eats et Grubhub, qui se sont déplacés plus loin dans l'espace de livraison d'épicerie. Maintenant, Instacart riposte en vendant des plats chauds. La plate-forme d'épicerie en ligne a annoncé jeudi 13 janvier le lancement de son nouveau hub de plats cuisinés, avec des plats cuisinés d'un certain nombre de grandes marques d'épicerie appartenant à Ahold Delhaize et Kroger déjà disponibles. Le communiqué de presse a présenté ces options comme des "alternatives rentables aux plats à emporter au restaurant", un jeu clair pour les clients des agrégateurs. "Avec notre nouveau centre de plats cuisinés, nous proposons des alternatives alimentaires inspirantes, plus abordables et nutritives à la livraison au restaurant qui permettent aux consommateurs de rompre plus facilement avec les plats à emporter cette année", a déclaré le vice-président d'Instacart et chef de produit Daniel Danker dans La version. "Nous aidons également les détaillants à générer plus de ventes et à augmenter leur" part d'estomac "en ce qui concerne les décisions de repas quotidiennes de leurs clients." La nouvelle survient alors que les épiciers tentent de plus en plus de se repositionner non seulement comme fournisseurs d'ingrédients, mais aussi comme guichets uniques répondant à tous les besoins des consommateurs en matière d'aliments et de boissons. Discutant de l'ouverture du premier restaurant en magasin de Kroger avec Kitchen United vendredi (7 janvier), la vice-présidente du marchandisage de Ralphs, Kendra Doyel, a recadré le magasin comme une "réponse [à] la très importante question" Qu'est-ce qu'on mange? ". Pendant ce temps, Walmart, le plus grand détaillant d'épicerie au monde, a ajouté des cuisines fantômes multimarques à ses magasins, tandis que d'autres marques ont élargi et amélioré leurs offres d'épicerie. Tout comme les épiciers étendent leur portée à plus de types d'aliments, les consommateurs considèrent de plus en plus leurs dépenses alimentaires non pas comme des catégories distinctes de restaurant et d'épicerie, mais comme une seule catégorie « manger » connectée. Le lancement du Ready Meals Hub d'Instacart sert à brouiller davantage ces lignes. Si Instacart peut même faire une brèche dans l'espace de livraison de plats cuisinés, l'opportunité de marché est considérable, suggèrent les conclusions de l'édition de novembre du rapport Digital Divide de PYMNTS, "Digital Divide: Aggregators and High-Value Restaurant Customers", créé en collaboration avec Paytronix, qui présentait des enquêtes équilibrées par recensement auprès de plus de 2 100 adultes américains sur leurs comportements de commande. L'étude a révélé que les clients fréquents et dépensiers des restaurants - ceux qui dépensent plus de 40 $ par achat en moyenne et qui commandent au moins une fois par semaine - représentent 25 % de tous les clients des restaurants. Cinquante-neuf pour cent de ...

Meal Ticket, une solution de gestion d'entreprise pour le secteur de la restauration, et MarketMan, une plateforme de gestion des stocks pour les restaurants, ont annoncé une fusion soutenue par un investissement de 100 millions de dollars de la société de capital de croissance PSG. Les sociétés ont annoncé leur fusion mercredi 12 janvier, affirmant qu'elle rejoindrait leur logiciel et fournirait "des interactions plus automatisées et plus efficaces entre les distributeurs de services alimentaires et les restaurateurs". Fondée en 2011, la plateforme de Meal Ticket offre aux distributeurs des informations « axées sur le client » pour aider à mieux servir les clients et à augmenter les ventes. MarketMan, lancé en 2013, permet aux restaurants de gérer les commandes et les stocks, de surveiller le coût des aliments et d'analyser les opérations en arrière-plan pour gagner du temps et accroître la rentabilité. Les deux sociétés affirment qu'elles continueront à exploiter leurs produits existants tout en développant ensemble de nouvelles offres, et prévoient d'augmenter "de manière significative" le personnel des bureaux de Tel Aviv et de New York, avec un accent particulier sur les équipes d'ingénierie et de développement de produits basées en Israël. "Meal Ticket et MarketMan sont des compléments naturels l'un pour l'autre", a déclaré Wink Jones, PDG de Meal Ticket. "Meal Ticket analyse plus de 40 milliards de dollars de transactions de la chaîne d'approvisionnement de ses clients distributeurs alimentaires, tandis que MarketMan a une empreinte significative de plus de 7 000 restaurants payants dans le monde achetant auprès de milliers de distributeurs." Le PDG de MarketMan, Noam Wolf, a ajouté que l'accord était une "opportunité unique" de continuer à servir les restaurants, "mais aussi d'accélérer le développement de la plateforme". "Avec un nouveau capital d'investissement important du PSG, un investisseur de croissance expérimenté dans le SaaS B2B et les paiements, ainsi que des ressources et une expertise importantes de Meal Ticket, nous serons en mesure de faire avancer une variété d'initiatives de produits passionnantes pour les années à venir", Wolf a continué. PYMNTS s'est entretenu avec Wolf l'année dernière dans le cadre d'une table ronde sur les paiements intégrés. Il a parlé de la prise de conscience que les paiements intégrés, liés à une gamme d'autres outils de gestion de restaurant, présentaient une excellente opportunité de revenus. Comme l'a dit Wolf, certains entrepreneurs se concentrent sur la construction de meilleurs chevaux, pas sur la mise à niveau des voitures. En d'autres termes, ils pensent à travailler avec les outils dont ils disposent, plutôt que d'imaginer ce qu'ils pourraient avoir.

Les Girl Scouts s'associent à DoorDash pour les livraisons de cookies à la demande, et Just Eat Takeaway tire parti de son envergure pour survivre à ses concurrents. De plus, les services de livraison de nourriture peinent aux États-Unis à devenir des super applications. Square ajoute la livraison sur demande au Canada Square a lancé la livraison des commandes Square Online au Canada via DoorDash Drive, la plateforme de traitement en marque blanche de DoorDash, faisant du Canada le premier marché international à offrir la livraison à la demande après le lancement du service aux États-Unis en 2020, selon un mercredi (janv. 12) communiqué de presse. Aux États-Unis, les services de livraison de nourriture luttent pour obtenir le statut de super application Les services de livraison de nourriture ont la possibilité de devenir rapidement indispensables. Pourtant, alors que certaines applications à travers le monde ont pu transformer cette relation en d'autres catégories - devenant des super applications qui répondent à l'essentiel des besoins numériques des consommateurs - aucune aux États-Unis n'a été en mesure de suivre leurs traces. Just Eat Takeaway vise à ne laisser "plus d'oxygène" aux concurrents du monde entier Partout dans le monde, dans la catégorie compétitive de livraison de nourriture, la condition gagnante change. Là où en 2020 et 2021, l'objectif était de capter la plus grande part de marché, aujourd'hui les enjeux montent. Lors d'un appel avec des analystes mercredi 12 janvier pour discuter de ses résultats financiers du quatrième trimestre 2021, le géant de la livraison Just Eat Takeaway a déclaré que son objectif était désormais de surpasser ses rivaux au point de se retirer complètement. Pour la livraison de cookies à la demande, les éclaireuses abandonnent Grubhub pour DoorDash With the door-to-door sales model proving questionable at best amid widespread contagion concerns, Girl Scouts are once again taking a hybrid approach to cookie sales, this time with a new digital ordering partner.

La plateforme de livraison de nourriture Delivery Hero s'attend à atteindre le seuil de rentabilité au cours du second semestre de cette année et à devenir rentable l'année prochaine, selon un article de blog de l'entreprise lundi 10 janvier. "Delivery Hero a toujours investi dans des initiatives de croissance, avec l'ambition claire d'atteindre l'échelle nécessaire pour atteindre la rentabilité", a déclaré Emmanuel Thomassin, directeur financier de Delivery Hero, dans l'annonce. "Nous sommes restés convaincus qu'en atteignant la bonne taille, nous sommes en mesure d'apporter d'énormes avantages à tous les partenaires de notre écosystème, ainsi qu'à nos actionnaires." Thomassin a ajouté que la stratégie d'investissement de l'entreprise s'est jusqu'à présent avérée fructueuse et que "nous sommes sur une trajectoire solide pour rentabiliser notre activité de livraison de nourriture" au cours du second semestre 2022. Basée à Berlin, en Allemagne, Delivery Hero est présente dans environ 50 pays en Asie, en Europe, en Amérique latine, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. La société a traité plus de 791 millions de commandes, soit une croissance de 52 % d'une année sur l'autre, selon le site Web de la société. Les propres chauffeurs de Delivery Hero ont livré 50% de toutes les commandes au deuxième trimestre 2021. Delivery Hero se concentre également sur le commerce rapide, qu'il appelle "la prochaine génération" de commerce électronique, et s'efforce de livrer des produits d'épicerie et des articles ménagers aux gens en moins d'une heure, souvent en 10 à 15 minutes. Delivery Hero est coté à la bourse de Francfort depuis 2017 et fait partie du principal indice DAX (Deutscher Aktienindex) en 2020. "Je pense qu'il est juste de dire que, conformément à nos orientations, nous devrions être en bonne position pour choisir si nous voulons être rentables en 2023", a déclaré le PDG Niklas Östberg à Reuters. Le mois dernier, Delivery Hero a acquis une participation de 39,4 % dans l'application de livraison de licorne Glovo, basée à Barcelone. L'accord devrait être conclu au milieu de cette année et donnera à Delivery Hero une participation de 83,4% dans Glovo, contre 44%. Le géant de la livraison a également vendu sa participation de 150 millions de dollars dans la société de livraison latino-américaine Rappi, ce qui équivaut à la majeure partie de l'investissement qu'il avait réalisé dans l'entreprise,